Le marché de l’emploi en environnement au Canada était indéniablement sur une lancée en 2020, jusqu’à ce qu’une pandémie perturbe presque tous les aspects de la vie quotidienne. La COVID-19 a eu une incidence considérable sur l’emploi en général, mais celui-ci a également subi les effets de facteurs géopolitiques préexistants comme les négociations commerciales internationales et la situation difficile de l’industrie étrolière et gazière, qui est un moteur clé de l’emploi en environnement.
Bien que l’on s’attende à ce que la plupart des pertes d’emploi au Canada soient temporaires, on a de plus en plus l’impression que le rétablissement de certaines industries, professions ou régions sera plus long. De nombreux emplois en environnement devraient reprendre avant d’autres et continuer d’offrir des débouchés, en partie grâce à la création d’emplois, mais aussi en raison de très nombreux départs à la retraite.
En définitive, la transition entre récession et reprise repose sur les décisions prises par les industries, les pouvoirs publics, les établissements d’enseignement et d’autres intervenants.